Shinobi Kaiga
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Présentation d'un ancien raté

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AuteurMessage
Kaiho Tokuro

Kaiho Tokuro

Messages : 3
Date d'inscription : 28/07/2010
Age : 28

Présentation d'un ancien raté Vide
MessageSujet: Présentation d'un ancien raté Présentation d'un ancien raté EmptyMer 28 Juil - 17:05

— N0M : Tokuro
— PRÉN0M(S) : Kaiho
— SEXE : ♂
— ÂGE : 21 ans
— VILLAGE : Kiri
— GRADE VOULU : Oï-nin
— AFINITEE(S) : Fuuton/Katon/Doton
— AUTRE / PARTICULARITE : (Facultatif)

background


- Prénom : Guillaume
- Sexe : Masculin
- Age : 15 ans
- Comment avez vous connu ce forum ? : Gin Ichimaru
- C'est ton dernier mot ? Bah ouai...

Nom du personnage Tokuro Kaiho
PERSONNAGE INVENTE
CITATION


- Quel élément vous qualifie le mieux ? : Katon.
- Quel est le fruit qui vous qualifie le mieux ? : Je n'en sais strictement rien, peut-être la pomme empisonner mdr.
- Quel est l'animal qui vous qualifie le mieux ? : Euh la hyène ?
- Quel est la couleur qui vous qualifie le mieux ? : Le noir.
- Définissez vous en trois adjectifs : Manipulateur, jaloux et beau gosse *SBAAAAF*
- Nindô : Faire en sorte que le sacrifice de mes parents ne soit pas vain.


- Physique :

Avant de commencer à me décrire, je voudrais prévenir aux petits malins qui oseront dire que je suis un vantard de ne pas prendre la peine de lire. Ce n'est tout de même pas de ma faute si à la différence de certains mes parents ne m'ont pas fait dans le noir... Je ne cherche pas à vous rabaisser en disant de telles choses, je me décris seulement comme on me l'a demandé et je ne vais pas dire que je suis vilain si ce n'est pas vrai. Revenons en maintenant à moi, voici à quoi je ressemble. Je fais pas mal attention à mon apparence physique, normal pour un dragueur comme moi. Je coiffe donc mes cheveux mi-longs avec du gel, laissant retomber deux mèches sur mes yeux de chaque côté de mon visage.

Des yeux bleus, magnifiques, perçants mais pas agressif, s'alliant parfaitement au visage du parfait petit dragueur. Je porte aussi une boucle d'oreille à l'oreille gauche, pas très difficile à remarquer mise à part des fois où elle se retrouve dissimuler sous mes cheveux noirs ébènes. Niveau taille, je ne sais pas combien de mètres je mesure exactement mais je parierais pour le mètre quatre vingt-dix, oui c'est exactement cette taille-là.

Je parais peut-être un peu gringalet mais ne vous fiez pas à ce genre de choses, même je suis loin d'être énorme mais j'ai développé avec l'âge un corps " parfait " pour un shinobi. Surtout qu'avec ces trucs pesant des tonnes sur moi et cette arme écrasante que je me trimballe partout avec moi, mon corps s'est habitué à la douleur et aux efforts physiques. Côté physique donc, je n'ai rien à craindre en combat, mon corps s'est vu entraîner durant des années au Taijutsu et Kenjutsu, arts qui n'ont plus beaucoup de secrets pour moi.

Une agilité et des réflexes faisant envier plus d'un de mes camarades, une force de frappe non-négligeable pendant un combat. Une armure noire en cuir pour me protéger des mauvais coups couvrent ma taille et deux épaulières toujours dans ces teintes sombres pour les épaules bien évidemment. Voilà tout l'attirail avec lequel je vis dans ce monde de fou ravager par la haine, on n'est jamais trop prudent. Passons aux vêtements maintenant, on va faire vite, un ensemble que je trouveplutôt classe composer d'un pull-over bleu foncer et d'un pantalon large de même couleur. Des gants noirs, des bottes noires, le tout me donnant un style assez particulier plaisant pas mal aux filles.

- Mental :

Je suis une personne très ambitieuse avide de pouvoir, je recherche sans cesse à amasser de la puissance qui me servirait ensuite à devenir un grand héros. Pour cela j'emploirais tous les moyens légaux et illégaux, que cela fasse de moi un tueur sans pitié, un vrai salopard, je n'en ai rien à foutre, une seule chose compte pour moi, je veux devenir le meilleur. On ne peut pas me reprocher une telle chose moi qui est grandi avec un père pareil, lui aussi épéiste à l'époque, il n'a jamais cessé de dire qu'il croyait en moi et qu'il me ferait devenir le meilleur tout comme lui. J'en ai très vite fais mon propre nindô, écraser pour mieux régner, voilà dans quel état d'esprit je vis et dans lequel j'ai grandi.

Je ne déteste pas ce village, il est tout pour moi et c'est pour lui que je fais tout ça, je ne peux pas supporter l'incompétence de cet homme actuellement au pouvoir. Il est incompétent, pas assez stricte et efficace, sa politique est bidon, il recherche la paix au lieu de vouloir tout dominer. Ce village est fait pour devenir le plus grand de tous, nous devons sortir de l'ombre, ne plus nous cacher, nous investir dans les affaires des autres, il y en a marre de rester à l'écart, nous devons agir. Puisque nos actuels dirigeants ne veulent rien faire, je m'en chargerai, je ferai devenir le village de Kiri le maître du monde shinobi, que ce soit par la force ou non... Il ya aussi une dernière chose dans mes projets mais celui-ci restera secret pour le moment, je ne supporte pas les échecs et ces pauvres incapables vont le comprendre.

J'ai horreur des types qui se la pètent, qui se croivent meilleur que tout le monde de par leur titre ou leur déscendance, combien de fois j'ai prouvé le contraire à ces idiots. C'était plus fort que moi même si ces actions m'ont causés des ennuis par la suite mais rien de grave, l'important était accompli, je me foutais du reste. Je n'aime pas vraiment non plus tout ce qui touche à la drogue, euh je n'irais pas jusqu'à dire que l'alcool aussi, menteur et manipulateur comme on en fait plus, je mens presque aussi souvent que je bois.
Et ce n'est pas moi qui vait m'en plaindre, il faut bien raconter des conneries aux gens pour éviter les ennuis surtout ceux portant sur un meurtre.

Ce que j'aime ? Le combat, le son que produisent les lames quand elles s'entrechoquent, la sensation et le bruit des os brisés sous les coups, les cris et l'adrénaline, c'est le pied ! Bon il y a aussi cette boisson que l'on appelle vodka, oh mon dieu que c'est bon ce truc, c'est vraiment l'un de mes plus gros point faible, je ne peux pas y résister. Une dernière chose ? Mon arme ! Shikkoku !

- Histoire :

Je me nomme Tokuro Kaiho et je vais vous raconter mon histoire, une histoire qui comme vous le verrez finira bien tristement... Je suis né dans ce petit village qui abritait autrefois les légendaires 7 épéistes, des hommes surpuissant possédant des épées aux pouvoirs surnaturels. Mon père en était l'un deux, il possédait une épée provoquant de lourds ravages à ses adversaires, Shikoku, l'épée empisonnée (copyright by Gin). Le manche est une fleur d'où sort un manche en bois orné d'une boule de houx . La pointe noire de la lame est elle aussi empoisonnée . Chaque membre touché avec cette pointe se verra engourdi puis inutilisable au bout d'un certains temps. La technique ultime de cette épée est une énorme " vague " de poison détruisant chaque cellule sur un diamètre de trois kilomètres.Ce sabre donne aussi l'immunité contre tous les poisons hormis celui de la technique décrite précédemment . Les altérations d'état n'ont pas effet sur lui. Cette épée était transmise de père en fils depuis des générations, c'était la seule chose que possédait mon père de ses parents. Vous vous douterez bien qu'il était pour moi un idole, le parfait exemple, je voulais être comme lui, aussi puissant et respecter, c'était un vrai héros. Ma mère elle était la seule qui n'avait pas choisi d'être une kunoichi, elle n'aimait pas les shinobis, les missions et les guerres, elle disait que toutes ces choses affreuses menaient à rien d'autre que la mort et la souffrance. Pourtant, elle possédait un pouvoir rares en ces temps si troublés, elle contrôlait avec une aisance remarquable la glace ! Cependant, elle ne s'en servait que très rarement, elle n'en n'avait pas réellement besoin pour le grade qu'elle occupait, enseignante à l'académie ninja, son pouvoir se voyait gâcher lamentablement, ce qui me mettait souvent en rogne. J'ai toujours convoité son pouvoir et la voir refuser de s'en servir de peur de blesser les gens me mettaient hors de moi, combien de fois je me retenais de la supprimer...

Je grandissais rapidement avec l'idée de devenir un épéiste en tête, mais aussi en espérant réveiller un pouvoir qui était peut-être enfoui en moi, le Hyouton ! C'était mes rêves, mon nindô, mes buts, j'étais capable de tout pour y parvenir. Mais que veut dire tout dans la tête d'un gamin âgé à peine de dix ans, pas grand-chose il faut dire, je dirais même rien du tout. Oh bien sûr, je défendais cette idée ridicule avec conviction, c'est que j'avais un sacré caractère à l'époque, je me battais pour un rien et ne supportait pas que l'on dise du mal de mon rêve. Je faisais tout mon possible pour devenir en très peu de temps le nouvel homme fort du village, passant l'examen pour devenir un genin avec succès après avoir tout explosé à l'académie ninja. Je passais un peu pour le petit génie du coin, on se moquait souvent de moi et c'était normal qu'ils soient jaloux comme ça surtout ceux qui n'étaient pas parvenus à devenir un genin. Ma période passait sous la tutelle d'un vrai sensei et de trois autres équipiers changèrent ma vie, ils étaient devenus de très bons amis, j'appris beaucoup avec eux, mes forces comme mes faiblesses. Le genjutsu, l'impulsivité, le surplus de confiance en soi, la jalousie, la soif de puissance voilà les plus gros défauts que j'apprenais à maîtrisait durant mon stade de Genin. En ce qui concerne le genjutsu, il s'avérait qu'aucun talent en particulier ne semblait venir, je parvenais à me servir d'illusion basique, rien de plus. Pour le reste, j'étais parvenu avec une aide énorme des autres à les contrer en majeure partie, mais pas complètement malheureusement. En particulier cette jalousie énorme envers mes parents, ils étaient si puissants et respecter alors que moi je n'étais rien, un petit ninja de rien du tout qui ne cessait de croire en un rêve impossible pour lui.

Des missions plus tard, l'examen pour devenir un chuunin arriva. Mes coéquipiers et moi étions parfaitement à la hauteur d'un tel test et nous comptions sur notre puissance et notre efficacité lorsque nous agissions en groupe pour monter en grade. C'est ce qui arriva, une fois ce grade atteint nous allions pouvoir commencer les missions à plus gros risques, des missions bien plus intéressantes et dangereuses, le genre de mission que j'attendais depuis des années. Ma carrière en tant que shinobi se compliqua dès lors de ma première mission, ce n'était plus du tout la même chose, il ne suffisait plus de foncer dans le tas comme j'aimais le faire pour accomplir nos objectifs. Je côtoyais souvent les lits d'hôpitals de Kiri, revenant à chaque fin de mission dans un état lamentable, ayant peur pour moi, mon équipe dûe demander à Soryuku-sensei de s'entretenir avec moi, je ne devais plus agir aussi inconsciemment. Il m'expliqua longuement les risques que je faisais courir à mes camarades à agir de la sorte, que la mission pouvait être un échec etc. Un discours banal qui eut son effet escomptait, j'avais décidé d'arrêter mon égoisme, je recherchais toujours autant cette force qui me permettrait de faire partie de l'élite du village mais je voulais changer de moyen pour y parvenir. Tout changea dès lors, nous devenions peu à peu la team la plus réputé du village, une team capable de réaliser toute sorte de mission de part les compétences variées de ses membres. Des ninjas à gros potentiels qui ne cessaient d'augmenter et s'améliorer de jours en jours, mais rechercher la puissance sans cesse écarte bien souvent du droit chemin, j'allais moi-même en faire l'expérience. J'avais à l'époque 16 ans, toujours habiter par le même rêve, je me voyais approcher de lui de minutes en minutes.

Mes compétences ne tardèrent pas à taper dans l'oeil du Mizukage qui revit de beaucoup mon grade, à l'âge de 16 ans, j'avais largement atteint le garde de Juunin. Le lendemain de ma promotion, mon père qui comme le voulait la tradition de notre famille m'offrit ce qui allait devenir ma toute première arme. Je ne dirais pas une épée car au vue de la forme qu'avait cette dernière il était impensable de prendre ça comme une épée, non c'était plutôt une sorte de... un sorte de... je ne sais pas trop quoi, un truc vraiment impressionnant et ravageur. Je l'avais tout de suite aimée, bien qu'elle paraissait lourde et impossible à manier, je l'aimais et n'allait plus me passer de ses services jusqu'à ma mort. Oui mais voilà, c'est bien d'avoir une arme etc. Je n'avais toujours pas cette force qui me permettrait de devenir le plus grand des ninjas du monde, j'en étais même très loin encore, je n'étais même pas un épéiste. Chose qui commençait particulièrement à me troubler, toutes les places étaient prises et il était clair que je n'y avais pas la mienne, les sept sabreurs me l'avaient bien fait comprendre lors d'un test pour mon admission. J'avais dû affronter l'un deux dans un affrontement qui prenait fin seulement lorsque l'un des deux protagonistes perdait conscience ou qu'il abandonnait. Mon adversaire s'était retrouvé être mon propre père qui avait tenu à m'évaluer, il m'avait mit une sacré branlée que je n'étais pas près d'oublier.

Ronger par la haine et la honte, je m'étais exilé du village pour venir trouver refuge près du pays du fer, pays bien connu pour avoir été le lieu de la réunion entre les cinq grands kages de ce monde. Mais je n'avais pas trouvé refuge là-bas pour ça, non simplement que je m'y plaisais là-bas, j'y avais déjà mis les pieds une fois lors d'une mission et cet endroit fusionnait parfaitement avec moi. Le climat y était constamment froid comme à l'intérieur de moi, c'était un endroit désert, je l'étais également, seul et sans amis. Je restais en exil durant des années avant que mon père se décide d'agir, il avait demandé la permission au Mizukage de me chercher et essayer de me ramener au village sans être considéré comme un nuke-nin. Il n'avait qu'une seule chance, à mon retour au village, j'étais seul, mon père n'était pas rentré avec moi. J'affirmais aux autorités du village ne l'avoir jamais vu et être revenu de mon plein grès. Ils ne purent jamais vérifié ma version des faits mais ne trouvant rien me rendant coupable de sa disparition, ils me laissèrent revenir au village, trop attirer par ma puissance se trouvant en moi. 18 ans, nous approchons à présent de la fin, il ne me reste plus que quelques années à vous raconter avant de m'exiler encore une fois, je n'avais cessé de monter en puissance. Ma réputation au sein du village commencer à grandir, bon j'avoue que cette affaire sur la mort de mon père m'a bien aidé mais les services accomplis pour le village y étaient pour beaucoup également. L'acquisition de mon arme actuelle, celle de mon père, ce fut d'une manière peu judicieuse mais efficace. Agir dans l'ombre et par le biais d'hommes de mains, tel était ma seule option pour le moment, je ne pouvais rien faire par moi-même coincer dans ce village mais je ne pouvais pas non plus le déserter, j'y étais trop attacher. Perdu dans mes pensées, je ne remarquais pas qu'un nouveau jour débutait, les rayons du soleil pénétrait violemment à l'intérieur de la pièce plonger dans l'obscurité. Les oiseaux entamèrent un requiem en ces jours si sombres, rendant ainsi hommage de leurs voix mélodieuses aux défunts tombés par amour du village. Je me levais péniblement, j'avais effectué la veille un voyage assez rude et je ne m'étais consacré que peu d'heures pour récupérer, j'en payais les conséquences aujourd'hui.

Ma destination se trouvait être un petit pays du nom de Yuki no kuni, une faible importance au sein du monde shinobi, un climat glacial rendant l'endroit inhabitable, un coin parfait pour des projets que l'on souhaite garder secret. Le trajet était long et même en bateau il s'avérait être fatiguant, irritant même, je détestais ce genre de transport, beaucoup trop lent à mon goût, utile oui mais pas assez rapide. Accompagner par l'un de mes hommes de mains, Kura Gari, un homme plutôt jeune, aux portes de la vingtaine, un visage et un corps que l'on pourrait confondre avec le mien avec un simple coup d'oeil. Si on s'y attarde quelques secondes, on remarquera bien vite que son regard est bien plus glaçant que le mien. C'est surtout à cause de ses yeux rouges sang perçant vous donnant l'impression qu'ils voient au plus profond de vous. D'autant plus qu'à la différence de moi, ce gars ne parait jamais content, toujours en train d'afficher un visage froid et impénétrable. Je ne sais pas ce qui la mit dans un tel état, il a toujours été comme cela et n'a jamais daigné me parler de son enfance, à son arrivée dans ma petite organisation, il s'était seulement contenté de me dire qu'il avait besoin d'argent. Je ne m'en suis jamais séparé depuis, son boulot est d'accomplir toutes sortes de missions sans poser de questions, un boulot qui jusqu'à présent, s'est vu réalisé sans bavures.

Je faisais donc une fois de plus le voyage vers le pays des neiges, mais cette fois-ci serait décisive. Là-bas m'attendait un autre de ses objets tellement importants à mes yeux, là encore cette arme n'avait pas daigné venir à moi et une fois encore il fallait que je fasse couler le sang pour parvenir à mes fins. Après de longues heures de navigation ou plutôt de longues heures passer à me reposer, nous arrivions au pays des neiges, bien que celui de Kiri ne soit pas très chaleureux, on est toujours surpris la première fois qu'on met les pieds ici. Il y fait un froid saisissant et régne une ambiance de mort, pas vraiment le genre d'endroit que l'on choisirait pour partir en vacances. Emmitoufler dans une cape aux couleurs de mes vêtements, ma tête dissimuler sous une capuche et comme à mon habitude, mon bandeau shinobi laisser à la maison, je laissais échapper un profond soupir avant de mettre pieds à terre. Kura m'imita et tous deux nous dépêchions de rejoindre le quartier général installé ici depuis mon exil du village caché de la brume. Au bout de longues minutes de marche, nous arrivions en face d'un grand lac gelé engloutit sous une épaisse couche de brume. Il fallait s'en approcher vraiment de très près pour remarquer l'emplacement de ce lac et si on osait s'aventurer à l'intérieur du brouillard, on risquait plus de s'y perdre qu'autre chose tant la brume était épaisse. Je m'engouffrais à l'intérieur sans trop réfléchir comme si mon corps savait parfaitement ce qu'il faisait, il n'était nullement déboussolé par tout ce brouillard, il se contentait d'avancer toujours tout droit.

Mes pas me menèrent en face de la porte où se trouvait le quartier général, j'entrais sans frapper à l'intérieur faisant sursauter les trois hommes qui ne s'y attendaient pas. Ils étaient tous les trois affalés sur de vieux canapés usés, l'un d'entre eux venait de s'allumer une cigarette qu'il écrasa aussitôt au sol, il connaissait parfaitement mon opinion sur cette connerie. Les deux autres buvaient un alcool dont seul eux connaissaient le contenu, je ne m'attardais pas longtemps sur eux, le temps de leurs adresser un signe de mains que mon regard se posait sur une autre personne. Une femme d'une quarantaine d'années, le visage vide de tout envie de vivre, elle leva la tête sur ce qui allait être son nouveau bourreau. Elle ne se leva pas, elle ne le pouvait, ses pieds et ses mains se trouvaient attachés par de solides chaînes en métal. Ses habits en lambeaux et son corps ensanglanté laissait imaginer le nombre de supplice que cette femme avait encaissé. Je ne pus m'empêcher de grimacer en la voyant, tout aurait si simple si elle avait accepté de me donner l'épée de mon père. Au cas ou vous ne l'auriez pas compris, la femme qui se tient assis devant moi en ce moment se trouve être ma propre mère. Cela fait exactement une semaine qu'elle est là, cela fait exactement une semaine qu'elle subit toutes sortes de torture toutes les unes plus cruelles et douloureuses que les autres. Pourtant, elle ne dit rien et s'obstine et moi je continue la torture, je ne voulais rien lâcher, je savais pertinnement qu'elle détenait Shikoku et je ne comptais pas laisser passer ma chance.

Avant que je ne passe à l'action, un de mes hommes m'interpella agacer par la situation, il semblait en avoir trop vu durant ces sept derniers jours. Natsuo me surprenait sur le coup, lui qui habituellement aime faire souffrir les gens cela ne lui ressemblait pas de vouloir laisser tomber aussi rapidement. Natsuo Yoshi était un homme d'une taille normale, avec une belle gueule comme chaque membre de mon entreprise secrète. N'allait pas croire que je l'ai fais exprès, ces hommes ont été choisis pour leurs compétences diverses et variés que je ne possède pas. Des cheveux gris-argentés mi-longs, tombant jusqu'aux oreilles, rabattus sur les côtés afin d'exposer mon doux visage à la vue de tous. Des yeux noirs ébènes lui donnant à lui aussi un regard sombre et froid, un nez d'une taille plutôt normal ainsi qu'une fine bouche et pour finir un menton bien arrondi. Son corps lui est parfait je dois dire, élancé, divinement bien musclé, cet homme n'a absolument rien à envie aux autres. Sur ce corps, tatoué sur le pectoraux gauche se trouve des triballes ne ressemblant à rien de concret, sur ces marques, autour de mon cou se trouve un gros collier et au niveau de la ceinture, se trouve une tête en argent.

Tous ces symboles étranges appartiendrait selon lui à sa famille, la famille Yoshi. Question vestimentaire il a son propre style, plutôt élégant, vêtu exclusivement de bleue, il arbore un long manteau laisser entrouvert afin que selon lui, les femmes puissent admirer le corps d'un homme, un vrai ! Sur son bras droit, un collier en argent doté d'un somptueux rubis, offert par l'une de ses nombreuses conquêtes qui semblait être la bonne mais qui pourtant a fini pendu à une falaise : éventrer et égorger... De ce même argent, de la même personne, au niveau de l'avant bras, une sorte de coque destiner à le protéger (normal puisque c'est une coque...), pourquoi cette partie là du bras ? Je n'en sais rien moi-même, d'ailleurs il ne la porte seulement pour rendre hommage à Ishina. En ce qui concerne le bas, le style est assez confus, un pantalon dans le même textile que le manteau dissimuler par un nombre incalculable de choses que l'on pourrait appeler des ficelles...

" Euh vous ne croyez-pas que l'on devrait l'éliminer maintenant, elle ne nous dira rien depuis le temps qu'on la torture, si elle savait quelque chose elle l'aurait dit depuis un moment... "
" Ne dis pas n'importe quoi Natsuo ! T'es vraiment con sérieux ! Le patron est mieux placé que toi pour savoir si oui ou non elle sait où se trouve cette arme alors ferme-la et continue d'obéir aux ordres sans rien dire, tu le sais pourtant qu'il n'aime pas être contredit ! "
" Je voulais simplement éviter de perdre trop de temps pour rien... "
" Tu ferais mieux de te taire la prochaine fois au lieu de dire n'importe quoi ! "
" Mais je... "
" Natsuo ! Wazibashi ! Stop ! Vous vous engueulerez quand je serais partis, ce n'est pas le moment ! "
" Oui "

Toujours assis sur son canapé, Hitomaru qui avait suivi la scène un verre à la main laissa échapper un léger rire et se leva à son tour après avoir enfilé ses gants. Il avait l'air pressé d'en finir lui aussi, je ne pouvais pas les enfermer ici plus longtemps, les pauvres avaient besoin de plus de diversion et de prendre un peu l'air. Malheureusement pour eux, je n'avais rien à leurs confiers ces derniers temps, ce serait peut-être le moment pour eux de pouvoir faire ce qu'ils veulent. Ils ne me servaient à rien ici, leurs tentatives pour faire parler ma mère n'avait abouti à rien, je n'avais plus aucune mission à leurs confiés pour les faire patienter. Surtout que bientôt ils ne me serviraient plus à rien, je devrais m'en séparer dans très peu de temps, dès que la Buster Sword sera en ma possession, ils repartiront d'où ils sont venus, c'est à ça que servent les mercenaires. On les prends le temps qu'on en a besoin et ensuite on les jettes comme des merdes leurs demandant d'aller voir ailleurs.

" Les gars, il faut que je vous parle... "
" Tu n'as plus besoin de nous c'est ça ? "
" Eh merde, on savait que ce serait pour bientôt... "
" Ouai, la fréquence des missions que tu nous donnais a beaucoup baissé donc on se doutait que tu n'aurais plus besoin de nous. "
" C'est dommage, mais c'est comme ça. "
" Je suis désolé, j'ai laissé votre argent sur la table de la cuisine, prenez-le et partez et... "
" Si jamais l'un de nous quatre s'amuserait à divulguer tes projets, il le regretterait "

Nous éclations de rire après cette phrase balançait tous en coeur, je ne me faisais pas de soucis pour eux, ils semblaient bien m'apprécier et jamais l'un d'entre eux me trahirait, moi non plus. Les quatre hommes prirent leurs butins puis partirent sans un mot me laissant seul avec ma mère dans cette immensité qu'est le pays des neiges. Je libérais ma mère des chaînes métalliques qui l'empêchaient de bouger et la placer sur la table, je n'eus aucune réaction de sa part, la pauvre n'était plus en état de bouger. Elle pouvait seulement espérer que je me décide d'achever sa vie que j'avais gâché avec ma soif de puissance. Je m'avançais vers la table et y déposait son corps qui n'en était plus vraiment un et plongé mes yeux dans les siens, je la dégoûtais, elle me haïssait au plus haut point ce qui ne m'étonnait pas vraiment. Une fois de plus, je décidais de la ligoter aux pieds de la table afin de ne pas craindre un élan de rébellion qui viendrait tout faire foirer. Je lui arrachais son chemisier et me saisissait d'une de ces immondes bêtes répugnantes qu'est le rat. Je le plaçais sur le nombril de celle qui m'avait mis au monde, elle se mit à fondre en larmes à la pensée de ce que j'allais bien pouvoir lui faire. J'emprisonnais l'animal avec un couvercle, je le senti bouger et essayait de sortir de sa prison improvisée sans grand succès. Apparut alors dans ma main un chalumeau, lentement comme pour faire durer le plaisir, elle s'approcha petit à petit du couvercle pour venir chauffer celui-ci. Aussitôt le rat réagit au contact de la chaleur, on l'entendait couiner de douleur et d'affolement ce qui eut pour effet d'afficher sur mon visage un regard obscène.

" Je vais t'expliquais la situation, le rat qui se trouve sous le plateau va très vite s'affoler et va se mettre à chercher une sortie. Je ne compte pas le laisser sortir en enlevant le couvercle, la seule issue pour lui sera alors de creuser ton ventre pour se sortir de ce fourneau et tu finiras par mourir. Je me demande combien de temps tu supporteras la douleur et tu continueras à faire la muette ? "
" Cela ne suffira pas à me faire parler ! Je sais comment tout ça va finir, tu crois peut-être que je suis assez stupide pour remettre l'arme de mon mari à son assassin ?! Tu me sous-estimes Kaiho ! "
" Pourquoi t'obstines-tu autant ? Tu le sais très bien, tu finiras par parler, bien que tu sois très forte mentalement, je sais que lorsqu'on touche le fond et qu'on est sur le point de rendre l'âme, notre cerveau réagit instinctivement et finit par tout faire même les choses que l'on ne voudrait pas. "
" Va te faire aaaaaaaaaaaah ! "

Comme je lui avais promi, le rat cherchait un moyen de sortir, se rendant très vite compte qu'il ne pouvait repartir par la porte d'entrée, il creusait déjà son tunnel à l'intérieur de ma mère.
La torture continuait, mère ne voulez pas cracher le morceau pourtant si elle voulait rester en vie, elle devait le faire, je ne voulais pas avoir sur les bras le meurtre de mes deux parents. Elle hurlait comme jamais face à la douleur, le rongeur quant à lui ne devait plus être bien loin de pénétrer à l'intérieur de son corps. Il me semblait que de longues heures venaient de s'écouler, l'angoisse commençait à me gagner, la peur aussi, la peur de voir mourir ma mère en emportant avec elle la Buster Sword. Bon puisque la torture ne valait rien face à sa détermination, je ne voulais pas en arriver jusque-là mais elle ne me laissait pas le choix. Je me saisissais de ma lourde arme et fracasser les pieds de la table d'un mouvement puissant du bras droit. La table s'écrasa au sol, le plat ainsi que le charognard l'imitèrent laissant seul allonger sur la planche de bois, incapable de bouger, ma mère. Agaçer par le manque de résultat, fatigué par tout cette histoire, je me devais d'en finir au plus vite, je ne voyais plus qu'un seul moyen, si la torturer ne marchait pas, j'avais hâte de savoir si la mort de ses proches ne l'affecterait pas non plus. Je me dirigeais vers le fond de la salle où se trouvait une petite table ronde, je la faisais voler elle aussi et balancer le tapis qui recouvrait une trappe. Je pénétrais à l'intérieur de la pièce plongée dans la pénombre et pas franchement bien réchauffer, j'enfonçais le bouton de l'interrupteur sèchement, la pièce s'éclaira illuminant le visage d'un homme. Un homme maigre, le visage sale depuis peut-être une semaine voir deux, la bouche sceller par un torchon noir, ses mouvements se voyaient entraver par les mêmes chaînes que celles de ma mère. Lorsque la lumière de la pièce fit son apparition, le prisonnier tenta de protéger ses yeux d'un geste de la main tout en hurlant dans le bout de tissu, le pauvre était plongé dans le noir depuis si longtemps...

" Katsuma... l'heure est venue pour toi de te rendre utile, viens avec moi. "

Le détenu hocha la tête afin de montrer qu'il n'était pas d'accord, une chose plutôt futile de la part d'un prisonnier, comme si ce pauvre con avait le choix. Dans sa situation actuelle, tout ce qu'il pouvait faire, était de prier pour que sa soeur ne soit pas assez folle pour le laisser mourir sous ses yeux. Je remontais aussitôt la voir, attendant le dernier moment pour faire apparaître Katsuma. Elle ne s'y attendait pas, ses yeux s'agrandirent avant de se remplir de larmes, elle n'était pas idiote et savait parfaitement ce que je comptais faire de lui. Je l'envoyais manger le sol d'un coup de pied humiliant, il atterrit aux pieds de sa soeur qui le regardait les yeux enfouis sous des litres d'eau de tristesse. Je les rejoignais ma lourde arme à la main, ma toute première arme offerte il y a de cela des années par mes parents, c'est cette même arme qui allait tous les éliminer.

" Bon écoute-moi bien, si tu ne te décides pas à me révéler la position exacte de cette épée, c'est simple, je tuerais Katsuma ainsi que sa famille. Je continuerais ensuite avec ta soeur et sa famille et ainsi de suite jusqu'à ce que tu te décides. Où se trouve la Buster Sword de mon père ?! "

La pauvre dépassait par les évènements, s'effondra au sol dans un cri de désespoir, elle continuait à s'obstinait même si son frère devait en payer le prix.

" Bon tu l'auras voulu, un de moins... "

D'un geste rapide du bras, j'envoyais la pointe de ma lame s'écrasait violemment sur le torse de mon prisonnier. Cette dernière n'eut aucun mal à perforer la chair et tout ce qui trouvait sur son chemin à l'intérieur. Un flot de sang gicla sur les murs de la vieille maison, un cri déchirant se fit entendre aux alentours du pays des neiges. Cet homme n'était plus, lui qui n'avait rien demandé, lui qui vivait une vie heureuse avec ses trois enfants et sa femme, lui qui aimait sa soeur, il venait de mourir par sa faute. Elle se jeta sur lui, ses cris résonnaient partout dans la pièce, il n'aurait pas été difficile de l'entendre si on se trouvait à proximité de la bâtisse. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien me faire pitié à s'obstiner de la sorte, je la soulevais d'une main, elle ne pesait pas plus lourd qu'une plume. Je finis mon geste en l'éclatant avec rage contre la paroi de la maison déjà en piteuse état, une énorme fissure se forma à l'endroit où son corps était entré en contact avec le mur. Un autre crie s'échappa de ses fines lèvres, celui de trop. Le coup parti une nouvelle fois, mon poing percuta sa mâchoire, mon genou vint se fracasser contre ses abdos, je terminais par un coup de boule avant de l'envoyer voler à travers la pièce. Elle percuta de plein fouet la porte de la salle de bain qui vola en mille morceaux sous le choc tandis que cette salope finissait sa course dans la baignoire. Je n'en avais pas encore terminé avec elle, je la saisissais cette fois-ci des deux mains, elle ne cessait de pleurer, le visage en sang, incapable de tenir debout d'elle-même.

" Apparement tu ne sembles pas si attacher que ça à ta famille, je vais te laisser une dernière chance, je vais prendre le temps de te poser une dernière fois cette question. Si la réponse que tu me donnes ne me convient pas, je partirais rendre visite à mes grands-parents, je te jure qu'ils seront contents de me voir, mais malheureusement pour eux, ce sera la dernière. Maintenant à toi de voir si tu les aimes vraiment ou pas, pour la dernière fois où se trouve la Buster Sword ?! "

Elle baissa la tête, du sang venait en permanence tacher le sol de la pièce, les gouttes coulaient une à une et personne ne faisait rien pour les arrêter. Je comprenais très bien ce qui se passait, enfin elle se décidait d'accepter, il aura fallu aller jusque-là, m'enfin tout cela en valait la peine.

" Sous la tombe de ton père... l'épée se trouve... sous la tombe de ton père. J'ai ordonné de la faire enterrer sous son cercueil... en sachant pertinemment que tu chercherais à la reprendre... seulement quelque chose me disait que tu étais lié de près ou de loin à sa mort. Je ne me suis pas trompé, tu t'es toi-même charger de t'en débarrasser... J'ai quand même une question à te poser... avant de le rejoindre, pourquoi tant de haine ? Que t'avons-nous fais pour recevoir autant de haine de ta part ? Nous t'avons élevé... dans le plus grand des conforts... en faisant tout pour que tu ne manques de rien, c'est de cette manière... que tu nous remercies ? Nous t'aimions tellement... je t'aime toujours d'ailleurs... malgré tout ce que tu nous as fais, tu es et tu resteras notre enfant... j'espère seulement que ta soif de puissance ne te conduiras pas à ta perte... Adieu Kaiho, adieu mon enfant, je ne t'oublierais jamais... "

Elle ferma les yeux le sourire aux lèvres, l'heure était venue, je ne pouvais plus la laisser en vie, je vivrais seul désormais, des larmes apparurent sur mon visage coulant le long de mon visage rongait par la tristesse. J'étais triste, oui... j'avais moi-même voulu tout ce qui s'était produit au cours de ces dernières longues années et pourtant, mon âme pleurait la mort de mes parents, au fond de moi, je ne voulais pas être seul. Mais je ne devais pas faire marche arrière, je n'avais pas le droit, la lame de mon épée vint une dernière fois ôtait la vie d'une personne, j'avais décidé de m'en séparer une fois que la Buster Sword serait en ma possession. Je me laissais tomber sur le fauteuil le plus proche encore sous le choc, mais qu'est-ce qui pouvait bien me motiver à ce point pour tuer tous ces gens innocents ? N'y avait-il pas un autre moyen d'y arriver ? Fallait-il que je fasse couler le sang sans arrêt pour parvenir à mes fins ? Peut-être et je le ferais autant de fois qu'il le sera nécessaire... Le soleil venait de disparaître depuis une heure maintenant, je me retrouvais une nouvelle fois dans le bateau faisant route pour Kiri. Ma mère et mon oncle venait d'être enterré, leurs corps ainsi que mon épée se trouvait à jamais sceller dans les profondeurs du lac. Il me restait encore une dernière chose à faire avant de rencontrer cette personne, Buster Sword m'attendait sous la tombe de mon père. Je m'en emparais dès mon retour au village caché de la Brume, je repartais aussi vite que j'étais venu, faisant bien attention à tout remettre comme avant ou du moins essayer de le faire pour que personne ne remarque rien.



Dernière édition par Kaiho Tokuro le Jeu 29 Juil - 12:10, édité 9 fois
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Dragneel Natsu
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MessageSujet: Re: Présentation d'un ancien raté Présentation d'un ancien raté EmptyMer 28 Juil - 17:34

Bienvenue sur N-K et sa se dit Empoisonner Very Happy
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Hiro Asuka
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MessageSujet: Re: Présentation d'un ancien raté Présentation d'un ancien raté EmptyJeu 29 Juil - 10:49

    Bonjour et Bienvenu sur le forum.

    » Tout d'abord j'aurais quelque chose à te proposer, une redirection vers le village de Konoha no Kuni plutôt vu que celui de Kiri ainsi que de Kumo il y a déjà quelques ninjas alors que dans celui de Konoha il y en a tout simplement moins... Et donc il faudrait remplir le village pour que les personnages puissent rp avec d'autres ninjas du même village.

    » Pour tes descriptions tout est ok. La rien de bien spécial à dire je trouve.

    » Pour ton histoire par contre, c'est à peu du connu quand même enfin surtout le début : Avec l'éveille du grand Génie du coin ou même quand tu parles de ton épée, il n'y a rien de bien extraordinaire et c'est toujours la même chose dans les histoires x__x". Sinon rien à redire.

    Je t'accorderais bien le grade de
    Oi-nin de Konoha si tu es d'accord.
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Kaiho Tokuro

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MessageSujet: Re: Présentation d'un ancien raté Présentation d'un ancien raté EmptyJeu 29 Juil - 11:00

En ce jour si glorieux tu dois te soumettre à ma volonté ! MOUHAHAHAHAHAH ! *SBAAAAAAAAAF*

Euh donc pour la présentation, sorry, je n'avais plus qu'elle sous la main et j'accepte d'être un Oï-nin de Konoha :D

Merci encore.
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MessageSujet: Re: Présentation d'un ancien raté Présentation d'un ancien raté Empty

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